Jo Di Bona est devenu à l'aube de la quarantaine l'un des graffeurs français les plus reconnus de la scène street-art internationale.
Avant, il vendait des visseuses et ses disques, maintenant ce sont ses toiles qu'on s'arrache.

Perché à 15 mètres de haut, il peint l'inaccessible mais garde les pieds sur terre, il s'amuse avec sa muse de toujours qui le gronde souvent et à qui il doit tout. Jo Di Bona s'est inventé un art pour déchirer le présent en recollant le passé, et même si il roule encore en Fiat multipla : rien n'est dû au hasard.

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